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| La chapelle des Huguenoths | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 31.08.07 0:05 | |
| A vrai dire, je recherchais dame Ishtar afin de discuter avec elle du projet du nouveau port et de sa sécurité. Certains l'avaient vu se diriger vers la chapelle. Peut-être savez-vous où j'ai el plus de chance de la rencontrer ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 31.08.07 15:04 | |
| Après l'épisode d'agitation dans les rues d'Umiis, dame Ischtar vint à la chapelle afin de s'y reposer et de se retrouver par la méditation et la prière au plus prés de son seigneur Orzova.
En entrant elle reconnu de loin parlant à Ali, un membre du clan des Serres d'Argents. Elle en fut ravie, et alla d'un pas léger vers les deux hommes. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 02.09.07 14:21 | |
| -salut tout le monde
dit le bonhomme Damoclès en passant la tête par la porte... malheureusement un coup de vent fit claquer la porte et on entendit un "crac" sinistre: damoclès venait de se casser la machoir...
-ché rien chou chen chète pas pour moi (ce qui se traduit: ce n'est rien ne vous en faites pas pour moi!) Bon che vai me repogé, chen est bechoin (bon je vais me reposer j'en a besoin!!!!) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 04.09.07 15:41 | |
| Damoclès venait de recevoir une missive de bibou doudou, pour demander aux membres de notre communauté qui ont des besoins d'argent d'entrer en relation avec notre clan: Clan Capriccio. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 05.09.07 2:13 | |
| «Enfin la chapelle! » Nakurai fit signe à son premier lieutenant et lui désigna le haut du toit que l'on pouvait distinguer au travers des frondaisons. Autour d'eux, plus de deux cents hommes menaient leur monture au pas, dont une trentaine épuisé et, à première vue, sérieusement blessé. Mais ils y étaient arrivés ! Un lit, un repas chaud, et des amis l'y attendait. Il allait pouvoir se reposer, enfin, après un mois d'absence...Un mois... Nakurai arriva a Umiis sans obstacle, la matinée où les combats contre les pillards prirent fin,. Une fois à destination, il se dirigea directement vers les soldats encore regroupés après ces longs jours de sièges. Il reconnaissait l'ambiance autour de lui. Le soulagement de voir que l'on est encore en vie, la fierté du devoir accompli sans faillir, la peur rétrospective que l'on éprouve en repensant à toutes ces épreuves au cours des combats, ces épreuves qui, sur l'instant, ne peuvent nous marquer...ne DOIVENT pas nous marquer. Et enfin, après avoir pris un peu de recul, la tristesse que l'on ressent à la pensée de nos camarades tombés sous les coups des ennemis. Le guerrier secoua la tête. Avisant un soldat un peu plus gradé, il se dirigea rapidement vers lui. «- Sergent, pourriez-vous me donner quelques indications sur ce qu'il va se passer à présent? » encore tout à sa victoire, le sergent ne se fit pas prier: « - Les huiles ont décidé de partir derrière les brigands pour sécuriser toute la région. M'est avis qu'on va pas en prendre beaucoup, ils doivent tous être retournés dans les jupes de leur mères à l'heure qu'il est !! » Et sur un éclat de rire un peu faux, il se tourna à nouveau vers ses compagnons. Nakurai réfléchit un instant. Si les soldats quittaient le couvert de la ville, alors le siège était bel et bien terminé. Il n'avait plus à s'en faire pour la sécurité des environs, ce qui incluait bien sûr leur chapelle. Souriant, il tourna son esprit vers Dame Ischtar. Sa priorité à présent était de la retrouver. Mais il s'agissait de sa première visite, et il ne savait pas vraiment où chercher...errant dans les rues sans but véritable, il arriva soudain sur un pont gracieux, tout en finesse, qui surplombait une rivière étincelante. Souriant, il s'arrêta un moment, profitant d'un des rares répit qu'il s'accordait. Un mouvement au loin attira son attention. Une troupe semblait se préparer à partir. Pressentant que ce n'était pas l'instant opportun pour se reposer, il fila au pas de course jusqu'à l'endroit où les cavaliers se préparaient. Il trop tard pour pouvoir leur parler mais eut le temps de discerner les blason des Cobras, ainsi que...la silhouette de Dame Ischtar. Maudissant sa malchance, le Feyakin entreprit de suivre les soldats à vive allure.
Après environ une heure de marche forcée, il sut qu'il ne les rattraperait pas. Ralentissant, il fut soudain attirer par des bruits provenant d'un chaumière un peu plus loin sur le chemin. Il s'approcha doucement, et distingua distinctement des gémissements entrecoupés de pleurs. « Tais-toi le mioche! Tu vas finir par nous faire repérer! » Au son de la voix, Nakurai s'accroupit, se plaqua contre le mur de la masure, et sortit son poignard de sa gaine. Lentement, il longea ce dernier pour arriver près de la porte de la maison. Le silence s'était fait à l'intérieur. Soudain, un homme armé d'une hache apparut sur le seuil et porta un coup vertical au Feyakin. Pris de cours, Nakurai plongea sous la garde de son assaillant, lui enfonçant par la même occasion son poing gauche dans le foie, et enchaîna sans attendre avec un uppercut dans la mâchoire. Il sauta ensuite de côté pour se mettre hors de portée de la hache et attendit. Légèrement sonné, l'attaquant secoua la tête un ou deux fois avant de jeter un regard mauvais au guerrier qui l'avait désarçonné. Un deuxième homme émergea de la cahute, tandis que deux autres brigands tournaient à l'angle de celle ci. Nakurai commençait à envisager un repli stratégique comme une bonne solution, lorsque quatre hommes sortirent d'un bosquet derrière lui, lui barrant le passage vers la route. L'un des hommes, qui portait des habits de meilleure qualité que le reste de la bande s'adressa à lui: « Je pense pas qu'tais le choix, guerrier. Tu t'rends ou tu t'fais trouer. A toi d'voir. » ses compères sourirent aussi élégamment qu'une horde de gorilles et avancèrent d'un pas. Nakurai bondit vers l'homme le plus proche de la porte, dévia la lame de l'épée qui lui fondait dessus, tournoya autour de son adversaire, tranchant au passage quelque chose de mou qui devait être de la chair et sauta à l'intérieur de la masure, claquant la porte contre laquelle il s'adossa. Immédiatement, des coups sourds retentirent, mais il tint bon le temps d'observer ce qui l'entourait. La maison se composait d'un unique pièce comprenant un pauvre mobilier. Une table mal dégrossie, une chaise et deux tabourets difformes, un lit au pied duquel se trouvait un coffre en bois grossier. L'ensemble respirait les privations et la pauvreté. Dans le coin le plus reculé, la silhouette d'une gamine tremblotante et recroquevillée sur elle-même à peine visible. Elle n'avait même pas lever la tête pour regarder le nouvel intrus. Derrière lui, les coups redoublèrent d'intensité et le battant s'écartait à présent légèrement du chambranle à chaque fois. Mû par une intuition subite, il s'écarta vivement de la porte au moment où celle ci était traversée par le tranchant d'une hache qui déchira plus ou moins proprement le bois contre lequel il était adossé quelques instants plus tôt. Libéré de toute contrainte, la porte s'ouvrit, laissant la place à toute la bande. Nakurai dégaina son sabre et se mit en garde. Lorsque le premier bandit s'approcha, il leva sa lame et prépara son coup lorsque quelque chose de dur l'atteignit à la tempe.
Et alors ce furent les ténèbres.
Lorsqu'il reprit conscience, il était étendu contre le rebord d'une charrette, à moitié effondré sur le sol de celle-ci.. Battant des paupières sous le soleil à présent haut dans le ciel qui l'éblouissait, il regarda autour de lui. La charrette faisait partie d'un convoi qui s'étirait sur une longueur indéterminée, et qui traversait une forêt en silence. A ses côtés se trouvaient plusieurs hommes, visiblement des soldats blessé ou du moins mal en point. Il remarqua également dans une sorte de brouillard post-traumatique que tous ces soldats avaient le même uniforme. « prisonniers de guerre... » se dit-il, émergeant difficilement. Il passa une main sur sa tempe et trouva une plaque de sang séché. Secouant légèrement la tête, il estima qu'il s'en tirait à bon compte. Balayant ses compagnons d'infortune du regard, il remarqua que certains n'avaient pas eu la même chance. Qui, un bandeau sur l'oeil, qui un bras en écharpe, lorsque ce n'était pas les jambes immobilisées dans des attelles grossières ou quelques doigts amputés. L'un d'entre eux gardait son bras recroquevillé contre sa poitrine, un chiffon sanglant noué sur un moignon à la piètre allure. « Où sommes nous ? » demanda-t-il tout bas. « - A un jour et demi de marche d'Umiis. Lui répondit un des soldats. Tu es resté inconscient depuis que l'on t-a amené ici. - Qui sont ces hommes ? - les brigands qui nous ont attaqué. Leur déroute au pieds des murs a été totale, et une grande partie de leurs troupes s'est tirée à ce moment. D'autres sont restés groupés, et échappent aux patrouilles en traçant à travers les bois. - Comment on s'échappe ? - Inutile. Certains -les plus en forme- ont essayé et se sont vus abattre comme des chiens. Ils n'ont pas l'air comme ça, mais ces bâtards nous surveillent, et ils savent tirer. » Le silence retomba comme une cape de plomb sur le petit groupe. Une vingtaine d'hommes qui se serriaent les coudes contre la mauvaise fortune.
Le temps passa lentement, bercé par le son du grincement des moyens et des sabots des chevaux. Lorsque la pénombre s'avança, la caravane se regroupa et tous les cavaliers mirent pieds à terre. Ca et là, de rares feux étouffés jaillissaient dans la nuit, mais les soldats préféraient généralement se roulé en boule et s'endormir le plus vite possible après un repas des plus frugal (des fruits sec et de la viande séchée). Ils étaient en territoire ennemi, l'hiver n'allait pas tarder, des amis à eux étaient morts, et ils avaient en plus subit une lourde défaite. Nakurai pût compter environ cent cinquante hommes. Des rations réduites leurs furent distribuées, mais personne ne se préoccupa de leur indiquer un emplacement où dormir. Comme les autres ne semblaient pas s'en étonner, le feyakin supposa que tout cela était normal. Encore fatigué par sa longue inconscience, il se roula en boule et ferma les yeux.
Il se réveilla le lendemain avec les idées beaucoup plus claires. L a matinée était déjà bien avancée, le convoi avait d'ailleurs repris sa route depuis plusieurs heures, et il sût qu'il avait complètement récupéré sa forme physique. A présent, près deux jours à se contorsionner dans la charrette, il éprouvait une urgente envie de s'étirer et de bouger. Semblant répondre à son attente, un soldat s'approcha du chariot: « - Toi, le nouveau ! Lèves toi et descends. Tu vas aider tes camarades. » Obéissant à l'injonction, Nakurai se leva prudemment, les jambes toutes ankylosées. Après deux trois mouvements maladroits, il se pencha par dessus le bord de a charrette et sauta à terre. Là, il laissa le chariot le dépasser et fit quelques mouvements délassants. Un coup de hampe dans le dos lui intima de se mettre en marche, et il entreprit de redescendre le long du convoi sous la garde du soldat. Arrivé en bout de queue, le soldat lui désigna sans un mot des hommes placé derrière les chariots de provision, qui écartaient les branches, enlevaient les cailloux et aidaient les roues à tourner lors des passages difficiles. Le guerrier avisa le chariot où se trouvaient le moins d'hommes (un seul en fait) et se mit à la tâche.
Le voyage dura plus d'une semaine, au cours de laquelle Nakurai dût pousser encore et encore et encore, à tel point qu'il se prit à rêver de chariot et de poussière. En effet, les provisions étant situées en fin de convoi, toute la poussières soulevée par les chevaux du devant leur rentrait dans la gorge et leur piquait les yeux. Il restait attentif à une éventuelle faille dans leur garde, mais son ancien compagnon avait raison, et l'effort requis pour faire avancer le chariot sur un terrain de plus en plus difficile, s'il restait largement dans les possibilités du feyakin, ne facilitait pas les plans d'évasion. Un soir qu'ils s'étaient arrêté plus tôt que d'habitude, son compagnon lui adressa la parole: «- J'te dois une fière chandelle. J'aurais pas pu continuer longtemps seul à pousser c'maudit chariot. - Ils auraient mis quelqu'un d'autre avec toi. - Compte là dessus ! Ils m'auraient laissé crever comme un chien, oui ! - Qu'est ce que tu faisais avant ? - Je suis sous officier. Sergent Arpès Darbil. » Le sergent lui tendit la main. « - Moi, c'est Nakurai. Je suis un garde du corps disons...amélioré. Dans ma langue, on appelle cela un feyakin. - Ca paye bien ?» Nakurai sourit et serra la main offerte. « - Je les trouve plutôt bien organisé pour de simples brigands, non ? - Oui, moi aussi ça m’a étonné moi aussi. Ils sont disciplinés. Du moins, plus que des brigands normaux. D’après ce que j’ai pu entendre, un noyau dur était composé de militaires avant de mal tourner. - Mal tourner ? - Désertion. » Le silence retomba entre les deux compagnons d’infortune, qui sombrèrent bientôt dans un sommeil sans rêve.
Le lendemain, les deux hommes retournèrent à leur tâche. Vers le milieu de l’après-midi, Le convoi arriva à proximité d’un désert. De par le temps mis par le convoi pour y parvenir, Nakurai estima qu’ils se trouvaient dans le désert à l’est d’Umiis. Ils avancèrent encore pendant environ trois heures avant de parvenir à un grand amas rocheux devant lequel tout le monde s’arrêta. Le sable du désert rendait l’atmosphère près des chariots presque irrespirable, et Nakurai ne vit rien de ce qu’il se passait, sinon de brefs éclats de lumière, suivit de bruits sourds. Profitant de ce que la poussière dissimulait tout à un mètre devant soi, il se retourna, prêt à s'échapper. Au moment où il allait s'élancer, il distingua un demi cercle de silhouette qui entourait les différents prisonniers près des chariots. Encore une fois, les brigands faisaient preuve de plus de discipline que des bandits normaux, et cela ne jouait pas en sa faveur. Résigné, il reprit son poste normalement, et lorsque les soldats (qui méritaient de plus en plus cette appellation) leur firent signe, ils poussèrent les charrettes jusqu'au pied de l'amas rocheux. Là, ils commencèrent à débarquer les marchandises puis les transportèrent sur une pente rocheuse engoncée entre deux parois hautes d’une dizaine de mètres.
A l’extrémité de cette dernière, ils virent apparaître devant eux d’immenses parois ocres. Après un instant d’arrêt, les compagnons d’infortune avancèrent plus avant. Les autres bandits avaient déjà rejoint leurs campements, et seuls les gardes du petit groupe demeuraient encore en arme. Nakurai vit brièvement l’homme mieux habillé que les autres (celui qu’il avait vu près de la masure) entouré d’un petit groupe de soldats, se diriger vers l’entrée de ce qui devait bien être considéré comme étant...une forteresse de pierre. Emergeant de ses pensées, Nakurai s'aperçut que lui et sa troupe arrivaient à proximité de la porte. Le feyakin descendit de sa monture, tant bien que mal à cause de son bras gauche en écharpe, et pénétra dans la chapelle. L'ombre s'étendit sur lui comme une couverture protectrice, et il s'arrêta un instant, profitant de la fraîcheur, si appréciable après tout ce temps dans le désert. Au fond, il pouvait distinguer Dame Ischtar en conversation avec un Youlon, et un homme aux habits bariolés qui se laissait passer un bandage autour de la mâchoire on sans moult cris et remontrances. Fourbu, il se dirigea vers Dame Ischtar: « Salutations. J'espère que vous pardonnerez ma longue absence. J'ai rencontré quelques...imprévus. Pourriez-vous désigner une chambre disponible pour mes lieutenants et moi même ? Le reste de mes hommes dormira à la lisière des bois...Si vous le désirez, je vous narrerai également les causes de mon contre-temps, mais pour le moment, je dois avouer qu'un peu de repos ne me ferait pas de mal... » |
| | | Récit Destinée
Nombre de messages : 1319 Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 05.09.07 2:22 | |
| Nakuraï gagne 5 de reputation + 500 pièces pour son récit. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 05.09.07 8:09 | |
| Dame Ishtar, quel plaisir de vous rencontrer. Je suis Lambert Cadoc envoyé par Ellgwïr en vue d'assurer la sécurité du port. J'aurais souhaité plus d'information sur le développement du port. Quand les travaux vont-ils débuter? Quel effectif d'hommes avez vous besoin afin de garnatir la sécurité ? Veuillez m'excusez, ce n'est certainement pas le lieu pour parler de cela mais je suis un homme direct. Où et quand pourrions-nous plus amplement parler de ce projet?
Les 2 gardes de cadoc se précipitèrent alors dans la pièce visiblement inquiets.
Cadoc ! Un important groupe de cavaliers se dirigent par ici .
- Bien , restez dans l'ombre prêt à intervenir. S'ils se montrent dangereux vous protégerez en priorité dame Ishtar.
Cadoc regretta alors d'avoir laissé sa masse d'arme fétiche, qui lui valait son surnom, sur son cheval. Il attendrait les nouveaux arrivants la main posé sur le pomeau de son épée. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 07.09.07 11:16 | |
| Damoclès était entrer dans la chapelle et avait dit à qui voulait l'entendre:
- chers membre de la religion Orzofique, notre Dame Ischtar, la fidel Ali et les youlons vont bientôt partir en pélerinage. C'est donc le coeur serré que je vous annonce que pour toutes l'intendance je serais à votre disposition.
Il se tourna vers Cadoc et lui dit:
- cher ami je suis désolé si ma troupe de cavalier vous a effrayé... J'ai vu vos gens ouvrir la porte tout à l'heure et j'ai tout compris ^^ Si vous désirez quelques info sur le port envoyez moi une mouette privée à laquelle j'essaierai de vous répondre le plus précisément possible!
A tous le autres: - si vous avez besoin de quoi que ce soit n'hésitez pas à me les demander. Ischtar a voulu que je sois le créancier de la religion donc j'essaierai de jouer mon rôle! |
| | | Récit Destinée
Nombre de messages : 1319 Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 10.09.07 7:59 | |
| Le temple gagne un bonus de reputation de +1 | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 12.09.07 7:43 | |
| - Nakurai a écrit:
Fourbu, il se dirigea vers Dame Ischtar: « Salutations. J'espère que vous pardonnerez ma longue absence. J'ai rencontré quelques...imprévus. Pourriez-vous désigner une chambre disponible pour mes lieutenants et moi même ? Le reste de mes hommes dormira à la lisière des bois...Si vous le désirez, je vous narrerai également les causes de mon contre-temps, mais pour le moment, je dois avouer qu'un peu de repos ne me ferait pas de mal... » "Bonjour très cher, quel plaisir de vous revoir, ma joie est grande, je loue notre seigneur de vous avoir conduit jusqu'ici. Je puis à peine imaginer ce que vous avez du endurer pour parvenir jusqu'à notre chapelle, tant le tourment se lit sur votre visage. Sachez qu'il est impératif pour moi de vous écouter, ne serait ce que par humilité, afin de partager la peine qui fut votre lors de vos périples, car lorsque vous m'avez parlé d'imprévus, c'est bien de périples qu'il était question. Ecoutez, Ali va s'occuper de vous et de vos lieutenants, ne tardez point à vous restaurer, je vous verrez un peu plus tard." Ali prit soin de s’occuper des nouveaux arrivants, et les dirigea aux cuisines. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 12.09.07 7:53 | |
| - damoclès a écrit:
- Damoclès était entrer dans la chapelle et avait dit à qui voulait l'entendre:
- chers membre de la religion Orzofique, notre Dame Ischtar, la fidel Ali et les youlons vont bientôt partir en pélerinage. C'est donc le coeur serré que je vous annonce que pour toutes l'intendance je serais à votre disposition.
Il se tourna vers Cadoc et lui dit:
- cher ami je suis désolé si ma troupe de cavalier vous a effrayé... J'ai vu vos gens ouvrir la porte tout à l'heure et j'ai tout compris ^^ Si vous désirez quelques info sur le port envoyez moi une mouette privée à laquelle j'essaierai de vous répondre le plus précisément possible!
A tous le autres: - si vous avez besoin de quoi que ce soit n'hésitez pas à me les demander. Ischtar a voulu que je sois le créancier de la religion donc j'essaierai de jouer mon rôle! Ischtar à ces mots dit: « Merci cher ami pour tout vos efforts, pour ce zèle dont vous faites preuve et pour votre dévouement à l’égard de notre communauté. Sachez que je vais essayer de mon mieux avant de partir d’aider à la mise en place du port, je continuerai donc à assumer certaines fonctions notamment celles dues à ma fonction de bourgmestre. Encore merci pour tout, et j’ajouterai que si vous désirez prendre le temps de manger quelques victuailles, faites donc, nos vivres sont aussi les vôtre. » |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 12.09.07 8:14 | |
| - Cadoc dit Brise-Têtes a écrit:
- Dame Ishtar, quel plaisir de vous rencontrer.
Je suis Lambert Cadoc envoyé par Ellgwïr en vue d'assurer la sécurité du port. J'aurais souhaité plus d'information sur le développement du port. Quand les travaux vont-ils débuter? Quel effectif d'hommes avez vous besoin afin de garnatir la sécurité ? Veuillez m'excusez, ce n'est certainement pas le lieu pour parler de cela mais je suis un homme direct. Où et quand pourrions-nous plus amplement parler de ce projet?
Les 2 gardes de cadoc se précipitèrent alors dans la pièce visiblement inquiets.
Cadoc ! Un important groupe de cavaliers se dirigent par ici .
- Bien , restez dans l'ombre prêt à intervenir. S'ils se montrent dangereux vous protégerez en priorité dame Ishtar.
Cadoc regretta alors d'avoir laissé sa masse d'arme fétiche, qui lui valait son surnom, sur son cheval. Il attendrait les nouveaux arrivants la main posé sur le pomeau de son épée. Dame Ischtar salua chaleureusement Cadoc avant l'arrivée de ses deux gardes. Et le calme revint lorsque les cavaliers furent identifiés. Dame Ischtar essaya de son mieux de donner réponses aux questions de Cadoc. « Et bien cher Cadoc, sachez que l’aboutissement du projet est encore loin de montrer le bout de son nez. Beaucoup d’événements ont retardé l’échéance de construction du port maritime, mais je ne désespère pas, j’ai pris contact avec le banque Samaréenne afin de trouver les finances pour payer la construction. J’ai pris également contact avec les architectes de l‘honorable clan Nébulis Orbis afin que ces derniers me donnent un premier devis du cout et de la construction. Il me semble que certains membres de votre clan les connaissent, si vous pouviez par hirondelle aviser vos confrères à prendre contact avec le clan Nébulis Orbis, afin de les inviter à venir jusqu’en Umiis, cela serait une bien bonne chose dans l’avancement du projet. Sinon concernant les questions de sécurités, sachez que je ne saurai quoi vous dire, je pense qu’il serait envisageable que nous vous aidons à acheter un terrain afin que vous y fassiez construire une caserne, et que nous prévoyons un emplacement au port pour des navires de guerre. Je vous dis cela en toute modestie, car je n’y connais pas grand-chose. Qu’en dites vous ? » |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 29.09.07 11:37 | |
| Après le long trajet qui avait été le leur, les Hauts Conseillers Horace Di Volvio, ainsi que Dame Lorena arrivèrent pour la premiere fois devant la Chapelle d'Orzova d'Umiis.
Les deux membres du Clan Valendras aprécièrent quelques instants la batisse puis pénétrèrent dans l'édifice religieuse où quelques serviteurs youlons les accueillèrent aimablement.
Dès leur arrivée, les deux notables Valendras se dirigèrent au fond de la chapelle et s'agenouillèrent devant l'Autel du Culte pour se recueillir. Quand cela fut fait, se redressant fierement de leur veture taillé sur mesure, ils déposèrent une donnation pour la Communauté Orzofique.
Votre chambre est prête mes frères déclara un petit Youlon qui sembla surgir de nul part.
Nous vous remercions, Youlon de votre Hospitalité. Nous allons nous reposer. Notre Maitre Eckris nous a confié de lourdes charges a accomplir pour la Communauté et notre Clan. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 21.10.07 15:48 | |
| Rapidement, le jeune Youlon pénétra dans la Chapelle affolée... Il se dirigea directement dans les quartiens du Maitre Youlon et des dignitaires du Clan Valendras. Ils s'auraient quoi faire...
Peu de temps après, une certaine agitation se fit sentir dans la chapelle. Le Youlon Ali donna quelques ordres. Quelques serviteurs se dirigèrent vers les écuries pour faire sceller deux chevaux. Un Homme prit une grande sacoche en bandouillère, monta à cheval, puis se fut une femme qui aidée par des affliées se mit en selle.
Les chevaux partirent au galop en direction du Pont des Amants. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 02.12.07 14:23 | |
| Ischtar vint saluer les membres de sa communauté à la chapelle d'Umiis, afin de leurs signifier son retour dans la cité. Elle prit après le chemin du Quartiers des Notables. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 15.12.07 15:47 | |
| Ali était heureux de revoir en Umiis le retour du chambellan du clan.
Le temps s'écoula, la vie au temple avait repris son cours dans sa forme la plus "traditionnelle".
Un jour cependant...des nouvelles inquiétantes laissaient présager le pire...
Ali et ses frères se mirent alors à tout mettre en oeuvre pour accueillir d'éventuels gens égarés... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 21.12.07 9:25 | |
| Ali aidé d’un autre religieux arriva en trombe au temple en portant dame Ischtar qui avait été malmenée par les émeutiers peu avant. Tous les religieux présents s’activèrent à prendre en charge dame Ischtar, en particulier la douleur. Douleur qui se lisait sur son visage. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 23.12.07 10:22 | |
| Neidu'Khi suivit Ali jusqu'au temple d'Orzova où Dame Ischtar devait l'y attendre... en espèrant que cette dernière se serait remise des récents événements qui avaient eu lieu dans la cité...
Il attendit devant l'entrée et s'annonça. Il attendit là qu'on lui ouvrât... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 27.12.07 12:09 | |
| Ali le pria d’entrer, et le dirigea jusqu’à la chambre de dame Ischtar, où celle-ci y séjournait.
Dame Ischtar avait le teint pâle, entaché de place en place par quelques contusions bleues mauves, qui laissaient imaginer ce que la pauvre dame avait pu endurer lors de la révolte du peuple.
" Entrez, je vous prie mon seigneur" dit elle. "Votre venu m’emplie de joie, et réconforte mon cœur. Je vous ai fait appeler afin de vous proposer de reprendre un commerce du clan Capriccio. Gloire aux membres de ce clan et qu’Orzova les guide dans leur périple. Dites moi donc sans détour ce que vous comptez faire, et je ferai amener sur le champ une missive au concile des notables et à l’usurier d’Umiis afin que votre possession et votre statut au sein de notre société soient reconnus de tous." |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 27.12.07 13:32 | |
| Neidu'Khi suivit Ali jusqu'à la chambre de la douce Ischtar. Là on le laissa au seuil de la chambre, la porte était entrouverte. Il frappa à la porte trois fois, puis sur signe d'Ischtar il entra. Il s'inclina légèrement comme le veut la coutume des Mirumoto et dit :
Bonjour Noble Dame Ischtar, Première Dame d'Umîis, Dirigeante et Chambellanne du Clan des Huguenoths, et Haute représentante d'Orzova, Je suis Neidu'Khi, Marchand des Mirumoto, et je suis l'homme que vous avait fait mandé... Je suis là pour reprendre le commerce des -disparus et regrettés- Cappricio. C'est moi qui vais reprendre ce commerce, et j'ai une charette pleine de questions ! Mais je ne vous en poserais que quelques unes, c'est déjà très amical de votre part de m'accorder de votre temps... Bien donc je disais, j'ai tout un tas de questions ! Mais avant cela, vous me demandez ce que je compte faire avec ce commerce ? Plus exactement ? J'avoue ne pas trop comprendre votre question, veuillez ne pas m'en tenir rigueur je vous prie... Ce que je compte faire, et bien c'est développer le commerce, pour qu'en Umîis on connaisse les Mirumoto, et pour également découvrir cette merveilleuse ville... Je souhaite également, enfin le clan souhaite, établir en Umîis un commerce stable, qui pourrait au cas où Samarîis serait recouverte par les sables, recueuillir les Mirumoto. Il ne faudrait pas que nos hommes se retrouvent sans toit... Bien voilà,maintenant j'ai quelques questions primaires ! Premièrement : je croire savoir que vous avez toujours le terrain où il y avait le magasin, mais le commerce lui, est-il encore en état ? Faut-il le rénover ? Est-il prêt à accueuillir du public ? Ensuite, faut-il que les Mirumoto apportent une contribution financière pour développer l'établissement ? Et, quelques marchandises vend-on principalement à Umîis ?
Neidu'Khi attendit la réponse d'Ischtar... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 28.12.07 8:52 | |
| " Excusez moi si je ne me suis pas bien faite comprendre, je suis navrée, il est vrai que parfois l'on ait du mal à me suivre, tant je suis l'otage de mes idées qui fusent et que je n'arrive pas toujours à retenir suffisamment afin de leurs donner une forme compréhensible. Ce qui fait que je ne les exprime pas toujours comme je devrai le faire, en fait ce que je voulais savoir c’était si vous comptiez reprendre le commerce, car je ne savais pas avant votre arrivé si vous escomptiez reprendre l’affaire. Maintenant que j’en suis certaine, je vais faire envoyer une missive au concile des notables. Concernant vos interrogations, sachez que l’on vendait dans ce commerce des plantes, principalement des fleurs, et qu’un service de transport était proposé, pour faire la navette entre Umiis et Samariis. J’ai bien peur qu’avec le temps se service ne doive être revu et corriger, enfin vous voyez de quoi je veux parler. Mais vous devez être fatigué avec tout ça, prenez donc le temps de vous ressauter. Allez donc retrouver Ali, et demandez lui de vous conduire aux cuisines. Je suis navrée, mais mes maux de têtes me reprennent, et je dois me reposer. Mais n’hésitez pas à me poser une autre question, si celle-ci vous brûle les lèvres, je ne saurai vous imposer pareille souffrance. " Et elle lui sourit débonnairement. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 28.12.07 9:07 | |
| Neidu'Khi reprit :
Bien, merci de ces précisions, j'ai juste une dernière question avant de rejoindre ce brave Ali : si nous ne pouvons pas vendre de plantes, avez vous une idée de ce que nous pourrions vendre et où nous pourrions trouver ceci ? Apparemment le commerce est donc en état de fonctionner... Alors, je ne vous embête pas plus longtemps avec mes questions !
Il se préparait à partir dès que celle-ci lui aurait répondu... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 01.01.08 15:07 | |
| " Et bien, je pense que vous pourrez toujours trouver les Komagushis, et peut être passer un accord commerciale afin de mettre en vente leurs productions. Sachez que cette idée me vient d'un grand esprit qui me l'a soufflé dans mes songes. Je suis certaine que nous pourrons trouver un terrain d’ente avec eux, et que nous contribuerons à créer des emplois en Umiis. De plus les travaux du port seront bientôt terminés, et je pense que des expéditions seront bientôt mises en place afin de faire connaître l’existence de notre port à travers les continents lointains. Et je pense que vous aurez votre rôle à jouer concernant ces expéditions à venir." |
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| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths 01.01.08 15:26 | |
| Ischtar le considéra alors qu'il s'éloignait, et se dit en elle même, qu'il vous garde aussi cher frère, et qu'il vous touche de sa grâce afin que votre coeur soit perméable à son appel, ô qu’il nous serait bon de vous accueillir parmi les nôtres, qu’il me serait bon de vous avoir comme frère ici même, à la chapelle... |
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| Sujet: Re: La chapelle des Huguenoths | |
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