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 |  Sujet: arrivée d'un oiseau des mers  10.09.07 2:36 | |
| La mer de ce matin était couverte d’un grand manteau blanc, brume habituelle qui planait sur cette étendue d’eau. Le pêcheur ou le promeneur matinal pouvaient entendre un son strident accompagnant le bruit des vagues qui finissaient leur course sur la plage et ses rochers. Il devait être 4 heure du matin, le soleil déjà commençait son ascension, reprenant à chaque instant les parties du ciel que la lune lui avait volées. La chaleur des rayons dissipait peu à peu les épaisses couches de brume qui masquaient l’horizon. Les minutes passaient, et ce son d’abord illusoire, que les hommes présents prenaient pour un jeu de leur esprit devenait de plus en plus distinct. Il retentissait et l’on restait médusé quelques instants pendant lesquels les regards se croisaient. Les esprits s’échauffaient, aucun d’eux ne savaient ce que cela était ! Un attroupement s’était former sur la jetée. Les yeux les plus perçants tentaient de percer les résidus de brumes, à la recherche du musicien… mais sans aucun succès.C’est alors que surgit de la brume une ombre furtive. Tout le monde l’avait reconnu mais personne ne disait rien ! Le soleil alors se leva au dessus des brumes et vint éblouir la populace massé près de cette calme mer. Il accompagnait cette ombre, lui montrant le chemin du port. C’est alors qu’on entendit un hourra lointain venant de la mer ! Tous les terriens se regardèrent comprenant enfin qu’un second navire allait entrer dans le port Umissien. Le bruit se répandait comme une trainée de poudre : - Un navire approche, disait les uns. Tous au port disaient les autres.Le groupe alors se déplaça pour arriver sur les quais, encore en construction, du port maritime. Des gens affluaient de toute part pour assister au spectacle. La maréchaussée avait été avertie et déjà certains notables de la ville approchaient. On pouvait déjà vois se profiler la silhouette du navire. C’était une goélette à deux mâts, ses voiles blanches étaient toutes dehors afin de tirer le navire. On voyait l’équipage s’affairer. Le navire grossissait, il s’approchait de la côte, chacun s’attendait à le voir affaler ses voiles, mais non, le navire n’avait pas l’intention de lofer la voilure, au contraire. Mais sur son passage, chacun pu lire inscrit à la peinture noir sur la coque blanche : Le Grand V.
Certains comprirent alors que la goélette fluviale était enfin arrivée à Umiis
et que son port d’attache était le port fluvial. Ce fut alors un spectacle difficile à décrire. Il y eu une foule en mouvement, dans laquelle se mêlait
des chants, des exclamations de joie, des rires et beaucoup d’autre choses qui traduisait un bien être général. Car avec l’arrivée de ce navire, c’était le
signe de la prospérité pour Umiis si peu fréquenté. La foule suivait le navire
des yeux et le voyait distinctement ! C’est alors que l’on
entendit distinctement la voix du second qui criait aux hommes- Amenez la grand voile et le petit foc. Barre à tribord toute.On vit alors la proue du navire s’enfoncer un peu dans l’eau et s’orienter vers le quai du port fluvial. Le navire se rapprochait de plus en plus c’est alors que le second hurla ses derniers ordres.- Lofez le grand foc, amenez la misaine.Le navire fini sa course lentement jusqu’au bord du quai ! Les cordages s’envolèrent par-dessus le bastingage et 3 marins sautaient à terre pour arrimer le navire au quai. Ce fut alors l’explosion, la foule alentour hurlait. La joie était indicible. Un homme apparu alors à la poupe du navire, son uniforme ne permettait pas que l’on douta, il s’agissait bien du capitaine. On vit alors germer des têtes sur toute la longueur du navire des marins montaient aux cordages et saluaient la foule. La passerelle était en place et le capitaine s’avançait vers cette planche qui permettait de descendre à quai, quand il s’arrêta. Le second qui le suivait à ses côtés, troublé par la réaction de son capitaine, regarda en bas de la passerelle et s’aperçut qu’un homme y montait. Il avait les cheveux bouclés auburn, dont certains se trouvaient sur le front du jeune homme. L’homme sourit au capitaine et à son second et tout en montant la passerelle leur dit : - Bienvenu à Umiis. Je suis Damoclès.Le capitaine vint aussitôt à la rencontre de l’assaillant et contre toute attente lui offrit son bras et le salua respectueusement ! La foule regardait la scène sans trop comprendre, comment cet homme avait pu monter sans y être invité à bord du navire, domaine où aucunes lois autre que celle du capitaine et des dieux n’existent.
La foule s’interrogeait lorsque Dame Ischtar s’avança en compagnie de certain notable. Les bruits cessèrent pour entendre la déclaration. - Damoclès nous sommes heureux de voir entrer dans Umiis Le Grand V , regardant le capitaine, avez-vous fait bon voyage ? Le navire est-il aussi solide et rapide qu’il le semble ?- A ça le navire est superbe ! Il est à la pointe de la technologie actuelle. Notre armateur ici présent et les umissiens peuvent être fiers de ce navire.En disant ces mots le capitaine serra la main de Damoclès et se tourna vers son second et lui souffla quelques mots avant de prendre congé des notables et de Damoclès. On entendit alors le bruit de chariots, la foule s’écarta pour laisser passer trois chariots atteler chacun d’eux à deux animaux étranges, que les umissiens n’avaient surement pas l’habitude de croiser.  Les chariots s’arrêtèrent en file le long du bateau. C’est alors que l’on entendit le second :- Moussaillons à vos grues et cordes nous allons débarquer la cargaison.Il fallut deux minutes pour que les curieux voient descendre des fleures multicolores du bateau. Elles étaient destiné à approvisionner la boutique de fleure du Sieur Damoclès, qui en plus d’affréter des navires, vendaient des fleures rares et utiles. Les umissiens purent voir défiler quelques sortes de fleures qu’ils pourraient retrouver plus tard dans la boutique de Damoclès, en plein centre de la ville. Le déchargement dura une demi-heure. La foule commençait alors à se disperser, seul quelques curieux restaient pour voir le navire. Damoclès avait invité les notables à partager son déjeuner dans la salle de réception du navire, préparer spécialement pour l’occasion :
Ils furent nourrit par les cuisiniers que Damoclès avait choisis pour préparer les repas à bord du navire. Et pour vous donnez l’eau à la bouche, voici ce qu’ils mangèrent :En entrée :
pour le plat :  [url=http://culinotests.fr/images/frites 13_1.jpg]  [/url] Le dessert : pour le café :Image trop grande supprimée
Il était 13h 30 lorsque tous le monde sortis, le navire allait appareyer d'ici peu de temps pour son premier voyage vers Samariis, aura-t-il des passagers? |
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| | Sujet: Re: arrivée d'un oiseau des mers 10.09.07 8:25 | |
| et voilà, Le Grand V quitte le port direction Samariis, à son bord... personne ^^ |
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